
La Vjosa s’étend sur 270 kilomètres. Elle prend naissance en Grèce dans le massif montagneux du Pinde. Elle sillonne les reliefs de l’Epire, espace à cheval sur les territoires grecque et albanais, puis se jette dans la mer Adriatique au nord-ouest de la ville albanaise de Vlorë.
La Vjosa est l’un des derniers fleuves sauvages dont le lit et les berges ont été très peu altérés par des infrastructures de sa source à son éxutoire. Cette caractéristique, devenue très rare en Europe, aurait pu disparaître, en raison d’un projet (actuellement à l’arrêt) de barrages hydroélectriques.
Mon observation photographique explore l’histoire géologique de ce territoire, les modes de vie traditionnels (élevage et agriculture familiale) que ses rives accueillent, la fragilité et la richesse unique de ce fleuve inaltéré.
Elle interroge notre capacité de renoncement, notre faculté à accepter avec modestie la situation des êtres humains dans la nature.






Tepelenë, Albania, janvier 2021
La Vjosa s’étend sur 270 kilomètres. Elle prend naissance en Grèce dans le massif montagneux du Pinde. Elle sillonne les reliefs de l’Epire, espace à cheval sur les territoires grecque et albanais, puis se jette dans la mer Adriatique au nord-ouest de la ville albanaise de Vlorë.
La Vjosa est l’un des derniers fleuves sauvages dont le lit et les berges ont été très peu altérés par des infrastructures de sa source à son éxutoire. Cette caractéristique, devenue très rare en Europe, aurait pu disparaître, en raison d’un projet (actuellement à l’arrêt) de barrages hydroélectriques.
Mon observation photographique explore l’histoire géologique de ce territoire, les modes de vie traditionnels (élevage et agriculture familiale) que ses rives accueillent, la fragilité et la richesse unique de ce fleuve inaltéré.
Elle interroge notre capacité de renoncement, notre faculté à accepter avec modestie la situation des êtres humains dans la nature.




